Aujourd'hui, un salut spécial pour les femmes...
D'abord, je voudrais vous dire que je n'ai jamais été une militante des droits des femmes, mais, en étant une étudiante d'ingenierie et en travaillant dans ce métier-là, je suis obligée à être d'accord que la différence entre les hommes et les femmes est(malheureusement)encore très évidente. En plus, la societé "macho" m'énnerve vraiment.
Particulièrment, je n'ai jamais eu aucun problème dans mon boulot jusqu' à maintenant(heureusement pour moi). Par contre, je suis sûre que la maternité serait un " gros problème".
D'une certe façon, on rigole au bureau: "une femme enceite n'est qu'une femme enceinte...elle n'est pas du tout malade..!". Toutefois, les employers ont un point de vue bien différent...
Aujourd'hui, je me sens dejà prête pour avoir un bébé...et je veux vraiment l'avoir là-bas au Québec. Quelques fois je pense en arrêter de travailler pour m'occuper de mes enfants et de la maison. Mais, en fait, je ne sais pas encore ce qui va m'arriver. Je crois que je vais toujours travailler (j'aime bien). Néanmoins, concilier le travail et la vie de famille n'est pas toujours évident (n'importe où).
Bon, je voudrais offrir cette "post" à ma mère. Je suis très fière d'elle: elle a obtenu un bac en pédagogie et elle a travaillé jusqu'au moment qu'elle a eu sa première grossesse(moi). Une fois enceinte, elle a tout quité pour s'occuper de ses 3filles (c'est sûr que mon père avait une bonne condition financière).
Elle ne regret pas...mais, quand même, elle nous a toujours appris qu'il est très important d'étudier et d'avoir une proféssion pour réussir la vie.
Alors, (j'ai dejà beaucoup écrit) toute cela c'était seulement pour introduire le sujet qui est à la une dans les journaux ici à São Paulo et aussi à Montréal (et bel et bien partout la planète).
Voici quelques textes de l'édition du journal La Presse d'aujourd'hui, qui démontrent la similarité entre les problèmes chez nous et chez notre future demeure:
À plus,
Ana.
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